Rh - Riz

Rhéby, ruisseau afft de dr. du Rhône, source au plateau de la Fayarde, territ. de la com. de Villebois dont il arrose le ham. de Bouis et le ch. l. ; il donne la force motrice à deux petits moulins et à deux petites fabriques de bouchardes, finit après un cours d’env. 6 k. près de la station de Villebois.

 

Rhémoz, ferme sur la com. de Corbonod, à env. 1 k. S. du ch. l.

 

Rhémoz, ham. de 50 hab. de la com. d’Anglefort, à env. 2800 m. N. du bourg, près de la route nle n° 92, de Valence à Genève par Belley.

 

Rhémoz, torrent, petit afft de dr. du Rhône, cours de 3 k. env., sur le territ. d’Anglefort.

 

Rhinge (en), maison isolée sur la com. de St-Rambert, à env. 900 m. S. E. du ch. l.

 

Rhône, fleuve qui limite le dépt de l’Ain à l’E. et au S. et en reçoit toutes les eaux. Ce fleuve prend sa source en Suisse au nœud hydrographique d’Europe le plus important puisque près de là commencent également le Rhin, le Danube et un des plus importants affts du Pô.

Le Rhône sort des glaciers du mt Furca, à env. 1753 m. d’altitude, il coule d’abord avec rapidité entre les Alpes Bernoises et les Alpes Pennines et va se jeter dans le lac Léman par 375 m. d’altitude. Il en sort à Genève et arrose le cant. en recevant sur sa rive dr. la London venant du pays de Gex.

A 20 k. du Léman, le fleuve entre en France, d’abord par la rive dr. seulement, il sert de limite entre le cant. de Genève et les com. de Challex et de Pougny.

Il reçoit à dr. l’Annaz et sépare le dépt de l’Ain de celui de la Hte-Savoie. Il a pour affts de dr. le Grand-Echaud sur Collonges, le torrent de Rochefort sur Léaz, le ruisseau des Gorges sur Vanchy, la Valserine sur Bellegarde.

Pendant ce parcours, la traversée peut se faire sur 5 ponts : 1° celui de Pougny Chancy ;        2° celui de Collonges dit Pont Carnot, d’une seule arche plein ceintre de 40 m. d’ouverture avec une travée en fer à chaque extrémité prête à sauter si les besoins de la défense du territ. l’exigent ; 3° le viaduc du chemin de fer P.-L.-M. pour le passage de la ligne Bellegarde-St-Julien-Annemasse, viaduc à quatre travées métalliques reposant sur des piles en maçonnerie et 5 travées en maçonnerie faisant suite aux précédentes ; 4° le pont presque naturel et si pittoresque de Grésin ; 5° le pont en pierre de Coupy-Bellegarde au-dessus de l’ancienne perte du Rhône.

Du lac de Genève au pont de Collonges, le Rhône coule dans la plaine avec une direction N.E-S.O. ; à partir du dit pont, il décrit un arc de cercle avec convexité vers le S., roulant furieusement ses eaux dans un défilé très resserré entre le Gd-Credo et le mont savoisien du Vuache, le fleuve n’a plus que 15 à 20 m. de largeur ; ce défilé est commandé par l’ouvrage militaire de Fort-l’Ecluse.

A 9 k. en aval de Fort-l’Ecluse, le Rhône arrive à l’endroit où jadis ses eaux s’engouffraient sous une arche naturelle de 4 m. formée par un banc de rochers calcaires et coulaient souterrainement pendant une soixantaine de mètres ; cette curiosité naturelle s’appelait la Perte du Rhône, elle a été détruite en grande partie en 1828, on a fait sauter la voûte pour le passage des trains de bois. Aujourd’hui une portion sérieuse des eaux du fleuve est, au-dessus de la Perte, détournée pour aller donner la force motrice aux usines de Bellegarde, ville qui, grâce aux forces électriques données par la houille blanche du Rhône, est en train de devenir une importante cité industrielle.

De Bellegarde au Pont de la Balme, la direction du fleuve est N. S.

Il continue d’abord à couler dans un défilé très resserré allant de Bellegarde au château du Parc (Surjoux). Pendant ce parcours, il n’a guère que 6 m. de largeur et souvent les berges hérissées de rochers surplombent le lit du fleuve qui, semblable à un immense torrent se précipite dans des abimes avec des bruits ressemblant à des rugissements.

Les points les plus curieux sont : 1° la Planche d’Arlod, où les rochers des deux rives sont en encorbellement et tellement rapprochés qu’il a suffit de placer une planche pour avoir un pont, planche qu’autrefois on enlevait lorsque la France était en guerre avec la Savoie et qui est aujourd’hui remplacée par un tablier en fer ; 2° le Malpertuis où le Rhône disparaît presque complètement dans un trou sombre en faisant entendre des bruits grossis par les échos des cavités souterraines des berges ; 3° aux ruines de Génissiat où le vieux château a laissé suspendu au-dessus du fleuve ses ruines peuplées de légendes.

Pendant ces cours torrentueux, le Rhône reçoit à droite : sur Bellegarde, le bief de la Montaine ; sur Arlod, le Mortier, le Chantavril, le Poé, la Grania ; sur Billiat, la Fontaine des Malades, les Ringes ; sur Injoux, le torrent de Chevelu et le Bérentin ; sur Surjoux, la Vézeronce. Tous ces ruisseaux sont peu importants, ils apportent au fleuve les eaux descendues des pentes orientales du Colombier.

A partir du château du Parc, la vallée s’élargit et le Rhône est considéré comme navigable bien que la navigation ne commence guère qu’après le confluent de la rivière savoisienne du Fier ; les îles commencent à apparaître dans le lit du fleuve. La Dorches sur Chanay, le Rimal, le Peyzieu, le Rhémoz, le Volage et le bief de Charbonnière, sur Corbonod, lui versent leurs eaux.

Le fleuve passe ensuite sous le pont suspendu de Seyssel qui unit les deux ch. l. de cant. de l’Ain et de la Haute-Savoie. Bordant ensuite les territ. d’Anglefort et de Culoz, le Rhône s’élargit d’avantage, s’augmentant des eaux du Fier, émissaire du lac d’Annecy ; il forme de nombreuses îles, empiète sur ses grèves et pénètre par plusieurs bras dans les terres basses qui le bordent, formant ainsi, au pied oriental du Colombier, les marais d’Anglefort, de Culoz et Lavours.

Un peu en aval de Seyssel le Rhône forme la séparation des dépts de l’Ain et de la Savoie. Il reçoit le Petit Rhône sur Anglefort, le Ponant et le Jordan sur Culoz. Sur ce dernier territ. il est traversé par deux ponts (les 7e et 8e depuis l’entrée en France), celui sur lequel passe le chemin de G. C. n° 37, de Yenne au pont de Culoz, et celui servant au passage du chemin de fer P.-L.-M., de Culoz à Chambéry et en Italie.

En face le territ. de Lavours, qui possède un pont, le fleuve reçoit à g. le canal de Savières lui amenant les eaux du lac du Bourget ; sur Cressin-Rochefort il reçoit à dr. le Séran avec lequel souvent ses eaux se confondent inondant les bas terrains avoisinants.

Après avoir bordé le territ. de Massignieu-de-Rives, le fleuve en limitant la com. de Nattages, s’engage dans un défilé qui va se rétrécissant jusqu’au goulet étroit de Pierre-Châtel dont les parois presque verticales sont dominées par un fort à env. 170 m. au-dessus du niveau des eaux. De chaque côté de ce défilé se trouve un pont ; à l’E. celui par où passe le chemin de   G. C. n° 37, de Yenne au pont de Culoz par Nattages ; à l’O. le pont suspendu de la Balme, faisant communiquer Belley à Yenne, point de départ du chemin de G. C. n° 31, allant de ce pont à Dortan en traversant tout le dépt du S. au N.

Du pont de la Balme au confluent du Guiers (grand coude méridional du fleuve), le Rhône coule du N. E. au S. O. en bordant les territ. de Virignin, Brens, Peyrieu, Murs et Brégnier-Cordon. Il reçoit à g. l’Ousson, le Furans et le Balay.

Après avoir reçu le Guiers le Rhône fait séparation entre l’Ain et l’Isère. Il paraît qu’autrefois après le confluent le fleuve continuant sa direction S. O. répandait dans les plaines de l’Isère où, paraît-il on retrouverait encore des traces de son passage ; aujourd’hui il change brusquement de direction et marche du S. E. au N. O. jusqu’au pont de Lagnieu en cotoyant les derniers contreforts méridionaux du Jura.

Tout près du confluent du Guiers se trouve le pont de Cordon servant au passage de la route nle n° 83, de Valence à Genève par Belley, et à côté un autre pont sur lequel passe le chemin de fer P.-L.-M. de Virieu-le-Grand à St-André-le-Gaz.

Entre le pont de Cordon et le port de Groslée le Rhône forme des îles nombreuses et des lônes ou délaissés du fleuve qui se remplissent aux crues ; sur St-Benoît il reçoit le Grand et le bief de Nérieu ; sur Groslée, le Nant ; sur Lhuis, le Vivier. Au ham. d’Evieu, com. de St-Benoît, se trouve un pont d’où part le chemin de G. C. n° 10, allant d’une part à Belley et d’autre part à Lhuis.

Du port de Groslée à Lagnieu le Rhône coule entre des montagnes couvertes de bois et de vignes sur la rive dr. et la côtière basse du Dauphiné sur la rive g., le lit formant une sorte de canal de 300 m. de large, profond et presque rectiligne. Au pied de Lhuis le canal est étranglé par des escarpements hauts et abrupts formant un défilé redouté des mariniers qui l’appellent le Bout du Monde ; la largeur n’a que 36 m. et la profondeur est très grande.

En limitant la com. de Briord, le fleuve est traversé par un pont, il retrouve son ampleur mais il est de nouveau rétrécit en bordant Montagnieu où il reçoit la Brivaz et la Pernaz. Il limite ensuite Serrières-de-Briord puis Villebois où il reçoit le Rhéby et où un pont permet le passage du chemin de fer P.-L.-M., ligne d’Ambérieu à Montalieu. Possède un pont sur le Rhône, composé de 3 arcs en béton de ciment armé, système Hennebique, de 54 m. d’ouverture et d’un demi-arc de raccordement. Ce pont commencé en août 1905 a été inauguré en septembre 1907.

Sur le territ. de Sault-Brénaz se trouve un pont au-dessus et au-dessous duquel le lit du fleuve est obstrué par des bancs de rochers qui forment barrage et rendent la navigation dangereuse ; pour l’améliorer on a fait sauter des rochers et endigué les deux rives. Sur ce même territ. le Rhône reçoit le Taro ou Nérivent.

Il passe ensuite sur St-Sorlin et après avoir reçu deux petits affts, les Fontaines d’Or et le ruisseau de Chessieux, il reprend presque brusquement la direction N.E.-S.O. en bordant les territ. de Proulieu, St-Vulbas et Loyettes, coulant dans un canal large et profond et ne recevant guère d’autres affts que le petit et clair ruisseau du Riou sur Proulieu.

Le pont de Lagnieu sur St-Sorlin permet le passage de la route nle n° 75, de Chalon-sur-Saône à Sisteron par Bourg et Lagnieu.

Au pont de Loyettes le Rhône semble vouloir remonter vers le N. mais après avoir reçu les eaux de la rivière d’Ain, il marche sur Lyon, coulant de l’E. à l’O., limitant au S., les territ. de St-Maurice-de-Gourdans, Balan, Niévroz, Thil, Beynost, St-Maurice-de-Beynost, Miribel, Neyron et Rillieux. A partir de Miribel il limite les dépts de l’Ain et du Rhône.

Du confluent de l’Ain à Lyon, la physionomie du fleuve change de nouveau, il chemine dans une région plate et sans pente qu’il découpe au gré de ses caprices formant de nombreuses îles remplies de saules et de peupliers, des bancs de sable et des lônes marécageuses. La largeur totale est d’env. 1 k. sous Thil et 2 k. sous Miribel. Il n’y a plus de pont, les affts sont le Cotey et la Sereine.

Les différentes altitudes sont 364 à l’entrée en France, 335 au pont de Lucey ou de Bellegarde, 239 au pont de Culoz, 212 au confluent du Guiers, 192 au pont de Lagnieu,      184 au confluent de l’Ain, 170 à la sortie du dépt.

Peu après avoir quitté le dépt de l’Ain, le Rhône arrose Lyon où il s’augmente d’un tiers par l’apport des eaux de la Saône, puis courant droit au S. il sépare 8 dépts quatre à dr. et quatre à g. et va finir dans la Méditerranée où il porte en basses eaux 550 mètres cubes à la seconde, 2600 en eaux moyennes et 12000 en grandes eaux.

Sa longueur totale est de 812 k., il borde le dépt de l’Ain sur 193 dont 156 sont considérés comme navigables. (V. Navigation).

Outre les 19 ponts mentionnés ci-dessus le Rhône peut encore être traversé par de nombreux bacs à traille ou à rames : à Massignieu-de-Rives, les Millets (Brens), Peyrieu, Murs, Groslée, Rix (Lhuis), Proulieu et St-Vulbas.

 

Rhône (le Petit), torrent sur le territ. d’Anglefort, son cours de 7 k. est à peu près parallèle à celui du Rhône où il finit près du ham. de Chevrier après avoir arrosé le bourg d’Anglefort.

 

Rhutet ou Ruthet, ham. de 25 hab. de la com. de Péron, à env. 1500 m. S. O. du ch. l.

 

Riantmont, monticule au N. du bourg de Vesancy, d’où l’on a une belle vue sur le Léman. – Chapelle lieu de pèlerinage.

 

Riatez, ham. de 45 hab. de la com. de Curtafond, à env. 1 k. S. du bourg.

 

Richagneux, étang de 40 hect. dans la partie N. du territ. de Lapeyrouse.

 

Richard, usine sur le territ. de Serrières-de-Briord, à env. 1 k. du ch. l.

 

Richard, ferme sur la com. de Meillonnas, à env. 2500 m. O. du ch. l.

 

Richarde (la), ferme sur la com. de Montracol, à env. 800 m. O. du bourg.

 

Richardière, ham. de la com. de Domsure, à env. 1500 m. N. du bourg.

 

Richassière (la), usine de produits aseptiques et antiseptiques, 60 ouvriers, sur la com. de Genay, à env. 2 k. O. du ch. l.

 

Richemont, château construit vers la fin du XIIIe. siècle sur le territ. de Villette, à env. 3 k. N. du bourg. Construit en briques il a été fort endommagé en 1595 par les troupes de Biron, restauré il est aujourd’hui un des plus beaux de la Côtière. On aperçoit de loin sa masse carrée formée de quatre hautes tours aux angles et de gros murs les reliant.

La seigneurie de Richemont fut possédée à l’origine par les seigneurs de la Palud, XIIIe. et XIVe. siècles, puis dans la suite et successivement par les familles de Varax, de la Palud, de Rie, Perrachon, d’Augustebourg.

 

Richin, ferme sur la com. de Lompnieu, à env. 1600 m. S. E. du bourg.

 

Richonnière (la), ferme sur la com. de St-André-sur-Vieux-Jonc, à env. 700 m. N. du bourg.

 

Richonnière (la), ham. de 35 hab. de la com. de St-Denis-le-Ceyzériat, à env. 4 k. N. du ch. l.

 

Ricotty, maison isolée sur la com. de Blyes, à env. 1 k. S. du ch. l.

 

Ricoty ou Riccoty, fermes sur la com. de St-Vulbas, à env. 3500 m. S. O. du bourg, au croisement des chemins d’I. C. n° 34, de Montluel à St-Vulbas par Port-Galland, et n° 12, de Loyettes à Chazey-sur-Ain.

 

Rière-Buisson. V. Buisson.

 

Riez, halte des chemins de fer E.S.E. entre St-Jean-le-Vieux et Jujurieux.

 

Riez, ruisseau aflt de g. de l’Ain, source dans les combes de Châtillon et de Cornelle, territ. de Boyeux-St-Jérôme, sépare St-Jean-le-Vieux de Jujurieux et finit en amont de Pont-d’Ain après un cours d’env. 10 k.

 

RIGNAT, com. du cant. de Ceyzériat (6 k.) arrt de Bourg (14 k.). 289 hab.

P. Percept. Gare P.-L.-M. Ceyzériat. – Halte P.-L.-M. Sénissiat 3 k. – Gend. T. Bohas 3 k. – Ecole mixte.

Le territ. est situé sur la pente E. de la première chaîne du Revermont, il ne comprend qu’une seule agglomération à flanc de côteau sur le chemin d’I. C. n° 31, embt de Revonnas.

Pas de ruisseau, les hab. sont presque tous propriétaires.

La superficie est de 930 hect. dont 247 de terres lab., 13 de prés, 115 de pâturages, 65 de vignes, 85 de landes, 1 de jardins, 250 de bois.

La récolte annuelle moyenne est d’à peu près 1200 x de blé, 350 x d’avoine, 100 x de maïs, 1000 x de p. de terre, 1000 x de betteraves f., 1500 x de fourrages art., 300 x de foin,        1500 hectol. de vin, un peu de navets f., sarrasin, chanvre, fèves.

On trouve des châtaigniers et des noyers, des pommiers et des poiriers.

L’effectif moyen des animaux est d’env. 7 chevaux, 5 taureaux, 90 bœufs, 100 vaches,         60 élèves bovins, 5 béliers, 70 brebis, 15 moutons, 40 agneaux, 60 porcs, 10 chèvres.

La population est essentiellement agricole et par suite fait peu de commerce, 1 cafetier,          1 charron, 2 épiciers, 2 menuisiers, 1 pailleteur de tulle. L’industrie est représentée par une petite carrière de pierre occupant 2 ou 3 ouvriers pendant une partie de l’année.

L’archevêque de Lyon nommait jadis à la cure.

La seigneurie et le château fort de Rignat furent possédés du commencement du XIVe. siècle jusqu’en 1422 par la famille de Coucy, après ils appartinrent successivement aux du Saix, Chavry, Terrat, de Clermont-Tonnerre, Boisson du Noyer, Charbonnier, de la Charmondière.

 

Rignieu-le-Désert, ham. de 170 hab. de la com. de Chazey-sur-Ain, à env. 1800 m. N. E. du ch. l. Ecole mixte. – Ancienne paroisse puis simple annexe. – Ancienne seigneurie possédée au XIIIe. siècle par la famille Durand de Rignieu.

 

RIGNIEUX-LE-FRANC, com. du cant. de Meximieux (5 k.), arrt de Trévoux (40 k.), à 32 k. de Bourg. – t – 401 hab.

P. Percept. Gend. Gare P.-L.-M. Meximieux. – Ecole primaire de garçons.

Le territ. est situé sur le plateau de la Dombes dans la région boisée qui avoisine la Côtière, il est arrosé par la Toison et desservi par le chemin de G. C. n° 22, de Bourg à Meximieux et de Bourg à Montluel dont les deux branches, partant de Chalamont, traversent la com. ainsi que l’embt allant de Logis-Gaillot à Versailleux.

Le ch. l., au ham. de Troyard, est loin de ces chemins, il ne compte que 43 hab.

Les ham. portent les noms de : Brevet, Buyat ou Bruyat, Chanot, Guillon, Gauthier ou Gaultier, Morillon, la Platière, Plamboz. Les fermes ou habitations isolées s’appellent : Bataillard, Bruyères, le Château, Champremont, Gilet, Granget, Gravelens, Girod ou Giroux, Joly, Logis-Gaillot, Marsolas, le Mollard, Samans, Turus, Tour, Trevol.

La superficie est de 1502 hect. dont 368 de terres lab., 250 de prés, 6 d’herbages, 6 de vignes, 1 de jardins, 3 de landes, 391 de bois.

La récolte moyenne annuelle est d’env. 3000 x de blé, 600 x d’avoine, 1200 x de p. de terre, 1000 x de betteraves f., 1800 x de fourrages art., 6500 x de foin, 150 hectol. de vin, un peu de seigle, orge, sarrasin, maïs, colza, navette, chanvre.

On trouve quelques noyers et pêchers.

On compte un effectif moyen d’à peu près 70 chevaux, 1 mulet, 15 ânes, 8 taureaux,             60 bœufs, 240 vaches, 100 élèves bovins, 2 béliers, 20 brebis, 20 moutons, 15 agneaux,      140 porcs, 50 chèvres.

Commune agricole sans commerce spécial et sans industrie, sauf le petit moulin du Tour sur la Toison, 2 entrepreneurs de battage, 2 cafetiers, 1 maréchal ferrant.

Le chapitre de St-Paul de Lyon nommait jadis à la cure.

Avant la Révolution, il existait près de l’église de Rignieux une chapelle dédiée à St-Méry qui était un lieu de pélerinage très fréquenté.

Comme seigneurie, Rignieux appartint du XIIe. au XVIe. à des gentilshommes du nom ; en 1658 elle était possédée par la famille de Bresnaud, elle fut dans la suite unie à la baronnie de Châtillon-la-Palud. La terre passa plus tard à la famille de Bonna de Perrex.

 

Rigonière, étang de 6 hect. sur le territ. du Plantay.

 

Rigonières (les), ferme sur la com. de Versailleux, à env. 3200 m. N. du bourg.

 

RILLIEUX, com. du cant. de Montluel (14 k.) arrt de Trévoux (20 k.), à 51 k. de Bourg,   1568 hab.

B. P. T. t. – Percept. et Gend. Miribel. – Gare de Rillieux-la-Pape à l’altitude 172 m. sur la ligne P.-L.-M. d’Ambérieu à Lyon entre les stations de Neyron (3 k.) et de Lyon-St-Clair      (3 k.), près du ham. de Crépieux. – Gare de Sathonay-Rillieux sur la ligne de Bourg à Lyon-Croix-Rousse, sur le territ. de la com. à 3 k. du ch. l. – Ecoles primaires de garçons et de filles au ch. l., écoles primaires de garçons et de filles au ham. de la Pape.

C’est la com. la plus avancée du dépt de l’Ain du côté du dépt du Rhône, elle est située en majeure partie sur le plateau de la Dombes avec une portion à flanc de coteau. Elle est arrosée au S. par le Rhône.

Le territ. est desservi par deux routes nles : n° 83, de Lyon à Strasbourg par Villars et Bourg ; n° 84, de Lyon à Genève par Montluel et Pont-d’Ain. La première passe au ch. l., agglomération de 1038 hab., dont l’église de 1865, du style roman à trois nefs est très élégante, on y remarque de belles peintures murales, surtout dans la chapelle de St-Denis, œuvres de M. Auguste Perrodin ; l’hôtel de ville, de construction récente, est un bâtiment carré d’un assez bel aspect.

Le chemin d’I. C. n° 21, de la gare de Miribel à Sathonay passe également au bourg de Rillieux.

Les ham. portent les noms de Crépieux, la Gare, les Iles, Maisons Brûlées, les Mercières, la Pape.

La superficie est de 1133 hect., dont 780 de terres lab., 20 de prés, 28 de vignes, 10 de landes, 10 de jardins, 115 de cultures maraîchères, 130 de bois.

La récolte moyenne annuelle est d’à peu près 4500 x de blé, 500 x d’avoine, un peu de colza, haricots, pois, 10000 x de p. de terre, 8000 x de betteraves f., 6500 x de fourrages art., 600 x de foin, 800 hectol. de vin.

L’effectif moyen des animaux est d’env. 285 chevaux, 1 mulet, 5 ânes, 1 taureau, 85 vaches, 130 chèvres, 120 porcs.

La population est agricole, elle fait surtout de la culture maraîchère dont les produits font l’objet d’un grand commerce avec Lyon. Pas d’industrie qu’une tuilerie et une distillerie,       1 aubergiste, 1 boucher, 2 boulangers, 10 cafetiers, 1 camionneur, 3 charrons, 4 mds de chaussures, 4 épiciers, 2 géomètres, 3 maréchaux ferrants, 1 serrurier.

L’abbaye de l’Ile-Barbe possédait jadis un prieuré à Rillieux.

La maison forte avait en 1603 pour seigneur Jacques Teste, seigneur de Tanay, en 1654 elle fut acquise par Pierre Chicault, puis appartint successivement aux familles de Puylata, Morand, Béraud.

 

Rimal ou Rimay, petit ruisseau afft de dr. du Rhône, cours de 4 à 5 k. sur le territ. de Corbonod.

 

Rimondière (la), montagne de 1117 m. d’altitude, formant crête au N. E. du bourg d’Hostiaz.

 

Ringe, ham. de 70 hab. de la com. de Beaupont, à env. 1 k. S. E. du bourg.

 

Ringes, ruisseau, petit afft de droite du Rhône, sur le territ. de Billiat.

 

Riodes (les), bois communal de 26 hect. sur le territ. d’Evosges.

 

Riollet (le), petit ham. de la com. de Dompierre-sur-Veyle, à env. 2500 m. S. du bourg.

 

Rion, ferme sur la com. de Bouligneux, à env. 1200 m. O. du ch. l.

 

Rion, petit moulin sur le Ternant, com. de Feillens, à env. 3 k. E. du ch. l., ne travaille que l’hiver.

 

Rion ou Prion, ham. de 25 hab. de la com. de St-Martin-du-Mont, à env. 1500 m. S. O. du bourg.

 

Riondaz, ferme sur la com. de Condeissiat, à env. 1600 m. N. E. du bourg.

 

Rionde (la), ferme sur la com. de Monthieux, à env. 1 k. N. du bourg.

 

Rionde (la), ferme sur la com. de Romans, à env. 1500 m. E. du ch. l.

 

Rionnière, ham. de 45 hab. de la com. de Pirajoux, à env. 3 k. O. du bourg.

 

Riottier, ham. de 40 hab. de la com. de Jayat, à env. 2 k. S. du bourg, près de la route nle n° 75, de Chalon-sur-Saône à Sisteron par Bourg. – moulin à blé assez important sur la Reyssouze.

 

Riottier, ham. de 75 hab. de la com. de Jassans-Riottier, à env. 1500 m. S. du ch. l., sur l’embt du chemin de G. C. n° 28, allant de Jassans à Trévoux par Riottier. – Halte des chemins de fer E.S.E., ligne de St-Trivier-de-Courtes à Trévoux, entre Jassans et St-Didier-St-Bernard.

A l’époque gallo-romaine, ce ham. devait avoir une certaine importance, on y a trouvé de nombreux tombeaux romains et des poteries.

La poype de Riottier est aujourd’hui surmontée d’un pavillon, elle domine tout le pays voisin et elle est détachée du plateau par une combe plantée de vignes. A mi-côte, du côté O. on remarque les restes de deux murs d’enceinte assez bien conservés et au sommet un pan de mur de 2 m. d’épaisseur.

Le château de Riottier a été possédé par la famille du nom aux XIe. et XIIe. siècles puis successivement par celles de Châtillon-les-Dombes, de Chabeu, l’église de Lyon. Baronnie au XVIe. siècle, Riottier fut possédé par les Cléberg, de St-Didier. Ce château est détruit aujourd’hui.

Anciennement le ham. faisait partie du Franc-Lyonnais, il avait une église paroissiale qui a été démolie en 1854.

 

Riotton, ferme sur la com. de Romans, à env. 3800 m. E. du bourg.

 

Riou (le), petit ruisseau aux eaux limpides, afft de dr. du Rhône, 1500 m. de cours sur le territ. de Proulieu où il donne la force motrice à un moulin assez important.

 

Ripasson, ferme sur la com. de Châtillon-sur-Chalaronne, à env. 1 k. N. du ch. l.

 

Ripette (la), ham. de 20 hab. de la com. de St-Nizier-le-Bouchoux, à env. 600 m. O. du ch. l.

 

Ripettes (les), ferme sur la com. de St-Bénigne, à env. 500 m. E. du bourg, près du ham. de Léal.

 

Ripettes (les), ham. de la com. de St-Etienne-sur-Reyssouze, à l’O. et près du bourg.

 

Ripoche (la), ferme sur la com. de Dommartin, à env. 500 m. du ch. l.

 

Rippe, petit ham. de la com. de Cuisiat, à env. 1500 m. O. du bourg.

 

Rippe (la), étang de 15 hect. dans la partie S. du territ. de Lapeyrouse.

 

Rippe (la), bois communal de 9 hect. sur le territ. de Tossiat.

 

Rippes (les), ham. de 20 hab. de la com. de Buellas, à env. 1500 m. N. E. du bourg.

 

Rippes (les), ham. de 125 hab. de la com. de Certines, à env. 2 k. N. du ch. l., près de la route nle n° 75, de Chalon-sur-Saône à Sisteron par Bourg. – Ecole mixte.

 

Rippes (les), bois dans la partie N. O. du territ. de Certines, au S. de la forêt de Seillon.

 

Rippes (les), petit ham. de la com. de Châtillon-sur-Chalaronne, à env. 1500 m. N. du ch. l., près du chemin de G. C. n° 29, de Bourg à Lyon par Trévoux.

 

Rippes (les), ferme sur la com. de Dompierre-sur-Veyle, à env. 2 k. S. E. du bourg.

 

Rippes (les), (Grandes et Petites) 2 fermes sur la com. de Lapeyrouse, à env. 2 k. S. du bourg.

 

Rippes (les), ham. de la com. de Montcet, à env. 600 m. S. du ch. l., sur le chemin d’I. C.      n° 17, de St-Georges-sur-Renom à Montrevel.

 

Rippes (les), ham. de la com. de Pougny, composé de fermes isolées sur un plateau, de 500 à 2500 m. du ch. l.

 

Rippes (les), étang sur le territ. de St-André-sur-Vieux-Jonc, à env. 1500 m. N. du bourg.

 

Rippes (les), ham. de la com. de St-Denis-le-Ceyzériat, à env. 800 m. N. du ch. l.

 

Rippes (les), ham. de 35 hab. de la com. de St-Etienne-du-Bois, à env. 1800 m. S. O. du bourg, près du bief du Bois-Tharlet.

 

Rippes (les), ham. de la com. de St-Jean-sur-Veyle, à env. 3 k. N. E. du bourg.

 

Rippes (les), bois communal de 38 hect. sur le territ. de Torcieu.

 

Rippes (les), ham. de 70 hab. de la com. de Treffort, à env. 2 k. N. O. du ch. l.

 

Rippes-Chanets (les), ferme sur la com. de Servignat, à env. 2700 m. du bourg.

 

Rippel, ham. de 100 hab. de la com. de St-Trivier-sur-Moignans, à env. 2 k. E. du ch. l., près de l’embt du chemin de G. C. n° 27, allant de St-Trivier à la gare de Marlieux.

 

Rippettes (les), petit ham. de la com. de St-Etienne-sur-Reyssouze, à env. 2500 m. du bourg.

 

Rippon, ferme et étang de 7 hect. sur la com. de Lapeyrouse, à env. 1600 m. S. du bourg.

 

Riret (le), V. le Réret.

 

Rivaud, étang sur le territ. de Savigneux, remis en eau en 1904.

 

Rivaux (les), ham. de 20 hab. de la com. de Genouilleux, à env. 600 m. N. du bourg, sur le chemin de G. C. n° 28, de Moulin-des-Ponts à Trévoux par Pont-de-Veyle.

 

Rivaux, ham. de 140 hab. de la com. de Montceaux, à env. 1500 m. S. O. du bourg, sur un plateau peu élevé. Petit étang entouré de vignes.

 

Rive, ou Moulin d’Andert, ferme sur la com. d’Andert et Condon, sur le Furans, à 2800 m. du ch. l.

 

Riverie, habitations sur la com. de Sathonay, à env. 2 k. du ch. l.

 

Rives, ham. de 85 hab. de la com. de Massignieu-de-Rives, près du Rhône, à env. 1200 m. E. du bourg. Un lac permet de communiquer avec Lucey (Savoie).

 

Rives (les) ou Rives de St-Jean, ferme sur la com. de Mogneneins, à env. 3 k. E. du bourg.

 

Rives du Clos (les), ferme sur la com. de St-Nizier-le-Désert, à env. 700 m. N. du bourg.

 

Riveillère, ferme sur la com. de la Chapelle-du-Châtelard, à env. 500 m. N. du ch. l., près du chemin d’I. C. n° 30, de Villars à St-Trivier-de-Courtes.

 

Riverotte (la), ham. de la com. de Cormoz, à env. 1500 m. N. O. du bourg.

 

Rivet, ham. de 35 hab. de la com. de Domsure, à env. 2500 m. N. du bourg.

 

Rivière, ferme sur la com. de la Chapelle-du-Châtelard, à env. 2 k. du ch. l.

 

Rivière (la), ham. de 120 hab. de la com. de Chézery, à env. 3500 m. N. E. du ch. l., près du chemin de G. C. n° 16, de Bellegarde à la route nle n° 5.

 

Rivière, ham. de 40 hab. sur la com. de Lescheroux, à env. 1900 m. N. E. du bourg.

 

Rivière, hab. sur la com. de Messimy, à env. 1 k. O. du bourg.

 

Rivière (la), petit ruisseau de peu d’importance, afft de dr. du Séran, territ. de Sutrieu.

 

Rivières. D’après la statistique du préfet Bossi, il y aurait, dans le dépt de l’Ain, 184 rivières ou ruisseaux dont 113 vont au Rhône (arrt de Gex non compris) et 71 vont à la Saône.

Dans cet ouvrage tous les cours d’eaux d’un peu d’importance ont été étudiés au nom de chacun d’eux et cités aux noms des com. sur lesquelles ils coulent.

Ci-dessous se trouve la nomenclature des ruisseaux mentionnés avec indication de leurs afflts et de la rive où se fait le confluent.

 

1° Affluents du Rhône, rive dr. Et sous-affluents :

 

La London                              G. le Lion                                D. la Bossonnas

D. le Journans

D. l’Allemogne                            G. le Puits Mathieu

D. le Messeson

L’Annaz                                 G. le Nant de Groisse                D. l’Anglian

D. le Béaz

Le Grand Echaud

Le torrent de Rochefort

Le ruisseau des Gorges

La Valserine                            D. Margraz

G. Troubléry

D. les Etrez

D. la Volferine

D. le Sundezan

D. la Sémine                    G. le Nian

D. le bief de Philis

G. le Combet                   G. le torrent de Chalix

G. le torrent  de Chaley

D. le bief Madame

D. le bief d’Enfer

G. le Tacon

Le Bief de la Montaine                D. le Bief de Manant

Le Mortier

Le Chantavril

Le Poé

La Grania

La Fontaine de Malades

Les Binges

Le Torrent de Chevelu   D. le Mornard

Le Bérentin

La Vézeronce

La Dorches                             G. la Frache

Le Rimal

Le Peyzieu

Le Volage

Le Bief de Charbonnière

Le Petit Rhône

Le Ponant

Le Jordan

Le Séran                                  G. la Serre

D. le Bief des Bresses

D. le Bief de la Rivières

D. la Scie                                 D. la Georgette

G. l’Arvière                 G. le Malariavaz

D. le ruis. De Chemillieu

D . le Groin

D. l’Aigue-Morte

G. le Laval

D. le ruisseau d’Archaille

L’Ousson

Le Furans                               D. le Bief de Sonne

G. le ruisseau d’Armix

G. l’Arène

D. l’Armaille

Le Balay

Le Gland                                 Bief d’Agnens

Ruisseau de Sétrin

Le Bief de Nérieu

Le Nant

Le Vivier

La Brivaz ou Flon                  D. le Grouin

La Pernaz                               D. le Pissot ou Adin

D. le Tréfonds

Le Rhéby

Le Taro ou Nérivent

La Fontaine d’Or

Le Ruisseau de Chessieux

Le Riou

L’Ain (voir affluents ci-dessous)

Le Cotey                                G. le Pommaret

La Sereine

 

2° Les affluents et sous-affluents de l’Ain sont :

 

G. la Bienne                            G. le Merlançon                              G. le Merloz

G. l’Oignin                             formé du                                 Borrey                                    formé de                 la Bourcille

le Merlet

D. le Bief de Chaleyriat

D. le Flon

D. la Boreyette

Valey                                      G. la Doye       G. le Biez de Gour

le Corberand

D. le Vaud

D. le Bras du Lac                     le Merloz                                               le Nant

le Montcornet

D. l’Ange                                D. la Sarsouille

G. le Landéron

G. le Bief de Nurieux

G. l’Evoaz

G. le Magolez

G. le Rore

D. l’Anconnans

D. la Valouse

G. le Bief de Granges

D. la Balme

G. le Pisse-Vache

G. le Bief de Bolozon

G. le Noirefontaine

G. le Veyron

G. l’Ecotay

G. le Riez

G. l’Oiselon

D. le Suran                              D. le Durlet

D. le Petit Durlet

D. l’Ecotay

D. le Bief de Fougères

D. le Bief de Bublane

G. le Seynard                          G. le Nantay

G. l’Albarine                          D. le Boitard

G. la Mélogue                  G. Biez de Vondru

D. la Mandorne

D. le Brevon

G. la Caline                      D. la Boissière

G. le Ravinet

G. le Buissin

G. le Neyrieux                        D. le Pollon

D. le Gardon

D. la Toison                           G. Bief de Chassagne

G. Bief de la Planche

D. le Longevent (se perd dans les sables)

 

3° les affluents de G. et sous-affluents de la Saône sont :

 

La Seille                                  G. le Solnan                     D. le Laval

G. le Bief d’Ousson                D. le Gd-Pré

G. le Bief de Lignon

D. le Boccarnoz

D. le Bérançon

G. le Sevron                     D. les Chaises

G. le Bief de Charmes

G. le Bief du Bois Tharlet

G. la Durlande                 le Malaval

Grossi du Bief Guedon

G. les Basses-Vavres

G. la Saôone Morte

G. la Sâne Vive                        G. le Souchon

G. le Berthelet

La Rue                                    G. Bief de Monnayeur

G. Bief Buttière

La Reyssouze                         D. Chalix

G. Bief de Courlacul

G. les Leschères                                G. Bief de la Crozette

D. la Vallière

G. le Cône

D. le Bief de Percherez

D. le Jugnon                    D. la Grêle

G. le Laverne

D. le Salençon

D. le Bief de Gravière

G. le Reyssouzet

G. le Bief de Privage

D. le Bief de Rouillet

D. le Bief d’Augions

G. le Bief de l’Enfer

D. le Bief Berlaton

G. le Bief de la Peyrouse                G. Neuville d’Orrain

G. Bief d’Oucle

G. le Bief de Rollin

Le Porcelet                             D. la Jutane                     D. la Nieuse

La Loëse

Le Virollet                              D. le Ternant

La Veyle                                 D. l’Avignon

G. l’Etre

G. l’Irance                    D. le Picolet

D. le Bief du Moulin

D. le Vieux-Jonc                              D. Bief de Croix

G. le Pré-Vieux

D. le Cône

D. la Loutre

G. le ruisseau de Brosse

G. le Renom                    D. le Césançon

D. la Marine

D. la Justice

G. le Bief-Bourban                          D. le bief Berthelon

D. le Menthon                 G. le Corrian                    G. Chevalqueue

G. le Biez de Vieudon                G. la Suisse

G. le Guyron

L’Arvanon                              D. le Crésançon

La Chalaronne                        G. le Relevant

D. le Payon

G. le Moignans                               D. le Mazanans

Le Bief de Jorfond

Le Bief de Sérans

Le Rapillon

La Calonne                             G. le Grillet

L’Appéum

La Mâtre                                G. le ruisseau de Prades

Le Rougeat

Le Mormont

Le Fornans                             formé des                                Fontbleins                              G. la Creuse

Morbier                                  G. les Caillottes

G. les Vignoles

Le Grand-Rieux                      D. les Tendasses

Les Quatres Torrières G. le Rougeau

Les Echets                              D. le Charabut

Le Ravin du Camp

 

Rivoire (la), petit ham. de la com. de Brens, à env. 200 m. N. du ch. l.

 

Rivoire (la), ham. de 90 hab. de la com. d’Hotonnes, à env. 1 k. N. O. du ch. l., sur le chemin de G. C. n° 39, de Nantua à Hotonnes. – Ancienne chapelle rurale.

 

Rivoire (la), petit ham. de la com. de Lochieu, à env. 1200 m. S. du bourg, près de l’Arvière et du chemin d’I. C. n° 19, de Conzieu à Brénaz.

 

Rivoire, château sur la com. de Montagnat, à env. 1600 m. S. E. du ch. l. – Ancien fief possédé par la famille du Saix, puis ensuite par celles de Coligny, Chavey seigneur de Cornon, le Loup, Duport.

 

Rivoire (la), ham. de 30 hab. de la com. de Peyrieu, à env. 1100 m. N. du bourg, sur la route nle n° 92, de Valence à Genève par Belley.

 

Rivoire, ham. de 40 hab. de la com. de St-Julien-sur-Veyle, à env. 800 m. O. du bourg, près du chemin de G. C. n° 2, de Montluel à Varennes-St-Sauveur par Pont-de-Veyle.

 

Rivoire, ham. de la com. de Vieu d’Izenave, à env. 3 k. N. E. du bourg.

 

Rivoires (les), ham. de 25 hab. de la com. de Marsonnas, à env. 4500 m. du ch. l.

 

Rivolet (Petit et Grand), deux fermes sur la com. d’Amareins, à env. 1 k. O. du bourg.

 

Rivolet (Petit et Grand), deux petits ham. de la com. de Montceaux, à env. 1200 m. S. O. du bourg.

 

Rivolière (Grande et Petite), deux fermes sur la com. de Condeissiat, à env. 1500 m. E. du bourg.

 

Rivolière (la), quartier S. du bourg d’Ordonnaz.

 

Rivons, ferme sur la com. de Chavannes-sur-Reyssouze, à env. 3 k. N. E. du ch. l.

 

Rivons, petit ham. de la com. de St-Trivier-de-Courtes, à env. 1200 m. N. du ch. l.

 

Rix, joli ham. de 95 hab. de la com. de Lhuis, à env. 2500 m. S. O. du ch. l., près du Rhône où se trouve un bac à traille, sur le chemin de G. C. n° 19, du Sault au pont de Cordon, future station du tramway projeté de Brégnier-Cordon au pont du Sault, entre celles du Port de Groslée et d’Ansolin. – Carrières. – Ce ham. est entouré de pittoresques et gracieux paysages, il est ombragé par des noyers centenaires. On y a découvert des ruines gallo-romaines.

 

Riz (le) ou Ris, ferme sur la com. de Lalleyriat, à env. 1500 m. E. du bourg.