Bout - Bra

Boutasse, ham. de 18 hab. de la com. de Ste Euphémie, à env. 500 m. N. O. du ch. l.

 

Boutassier (le), ham. de 50 hab. de la com. de St-Didier-de-Formans, à env. 700 m. N. E. du bourg.

 

Boutières (les), ham. de la com. de Guéreins, à env. 500 m. N. E. du bourg.

 

Boutique (la), petit ham. de la com. de Bâgé-la-Ville, à env. 3 k. E. du bourg, sur le chemin d’I. C. n° 30, de Villars à St-Trivier-de-Courtes par Dommartin. – Ecoles primaires de garçons et de filles.

 

Boutonnières (les), petit ham. de 20 hab. de la com. de Chavannes-sur-Reyssouze, à env. 3 k. E. du ch. l.

 

Boutz, petit ham. de la com. de Nattages, à env. 2 k. N. du bourg.

 

Bouvanfond, ferme sur la com. de Virieu-le-Petit, à env. 5 k. S. E. du ch. l., sur les pentes O. du Colombier.

 

Bouvard, ferme sur la com. de St-Jean-de-Thurigneux, à env. 400 m. E. du bourg.

 

BOUVENT, com. du cant. d’Oyonnax (5 k.) arrt de Nantua (19 k.), à 47 k. de Bourg.

P. Gend. et Percept. à Oyonnax. – T. et gare à Dortan (5 k.) – Ecole mixte.

Le territ. est situé sur un plateau de 550 à 600 m., arrosé dans la partie O. par le ruisseau de Maissiat.

Le ch. l., 87 hab., est composé d’une vingtaine de maisons placées irrégulièrement sur une petite éminence couverte d’arbres fruitiers, près de l’embt du chemin d’I. C. n° 35, allant de Martignat à Dortan.

Un ham. Massiat, et 2 fermes isolées, Dubreuil et les Clavins.

La superficie est de 410 hect., dont 170 de terres lab., 106 de prés, 95 de landes, 35 de bois,   2 de cultures maraîchères.

La récolte annuelle est d’env. 400 x de blé, 100 x d’orge, 100 x d’avoine, un peu de maïs, de lentilles et de betteraves f., 1000 x de p. de terre, 1000 x de fourrages art., 2000 x de foin.

Nombreux arbres fruitiers, noyers, pommiers, poiriers, etc.

On compte env. 1 cheval, 1 âne, 4 taureaux, 26 bœufs, 40 vaches, 50 élèves bovins, 3 béliers, 25 brebis, 20 agneaux, 10 porcs.

La population est formée de petits propriétaires, elle est surtout agricole ; une tournerie sur bois occupe 12 ouvriers en hiver, 7 en été, 1 md de bestiaux, 1 fromagerie ayant mis en œuvre en 1903, 628 hectol. de lait.

Pas d’église dans la com. qui est rattachée à la paroisse de Veyziat ; ruines du vieux château de Tamas qui date de l’époque romaine.

 

Bouvent, fermes sur la com. de Bourg, à env. 3 k. S. E. de la ville. Ancienne seigneurie, appelée primitivement Curtafray, avec maison forte, ayant appartenu à Galois de la Baume de qui elle passa, en 1363, à Amé de Viry et, en 1400, à Claude de Bouvens qui lui donna son nom.

 

Bouvent, bois dans un coude de la Reyssouze entre les routes nles n° 75 et 79 (Pont-d’Ain et Ceyzériat) sur les territ. des com. de Bourg et de Montagnat.

 

Bouvent, bois communal de 13 hect. sur la com. de Germagnat.

 

Bouverie (la), ferme sur la com. de Simandre-sur-Suran, à env. 3500 m. N. E. du bourg.

 

Bouverot (le), petit ham. de la com. de Dompierre-sur-Chalaronne, à env. 500 m. S. du ch. l.

 

Bouvet, ham. de Poizat. V. chez Bouvet.

 

Bouvier, ferme sur la com. de Meximieux, à env. 800 m. S. E. du ch. l.

 

Bouvinière (la), ferme sur la com. de St-André-le-Bouchoux, à env. 2300 m. S. du bourg.

 

Bouzet, petit ham. de la com. de Montceaux, à env. 1500 m. E. du bourg, sur une hauteur.

 

Bovine. Le nombre d’animaux de l’espèce bovine existant dans le dépt de l’Ain est d’env. 244000 se décomposant en 6000 taureaux, 30000 bœufs, 130000 vaches et 78000 bouvillons ou génisses.

La répartition du nombre total par arrt est de : Bourg 43 % avec 104500 têtes, Trévoux 26 % avec 63000 têtes, Belley 16,3 % avec 40000 têtes, Nantua 10 % avec 25000 têtes, Gex 4,7 % avec 11500 têtes.

Sur les 30000 bœufs, Bourg en possède 12900, Trévoux 8500, Belley 5000, Nantua 2650, Gex 1050.

Les 130000 vaches se répartissent ainsi : Bourg 54800, Trévoux 31350, Belley 22800, Nantua 14800, Gex 6250.

D’une étude faite en 1902 la consommation faite par les hab. du dépt de l’Ain ressortirait en année moyenne à 500 taureaux, 3400 bœufs, 13600 vaches, 3750 bouvillons ou génisses, 60000 veaux, soit un total de 81250 têtes.

La production des bœufs et vaches varie avec la récolte annuelle du fourrage, elle est en année moyenne de 36000 têtes. Ce chiffre résulte des calculs suivants : l’effectif des vaches étant d’à peu près 130000, en retranchant les 13600 abattues pour la consommation annuelle il reste 116400 ; on admet, comme moyenne que 85 vaches sur 100 ont un veau dans l’année, les naissances de veaux sont donc d’env. 100000 par an, c’est ce chiffre qu’atteindrait la production si tous étaient gardés comme élèves.

Il convient d’en défalquer les 60000 consommés comme veaux, les 3750 consommés comme bouvillons et génisses, les 500 destinés à remplacer les taureaux abattus, et env. 5500 destinés à remplacer les animaux des deux sexes disparus par suite d’accidents, maladies, etc., soit un total d’env. 70000.

Si du chiffre des naissances, 100000, on diminue ces 70000, la production réelle des bœufs et vaches ressort à 30000 soit à peu près 8000 bœufs et 22000 vaches.

En admettant que l’effectif reste stationnaire le renouvellement des bœufs s’effectuerait en moins de 4 ans, celui des vaches en 6 ans.

Bien entendu, il s’agit d’une production en année moyenne et les chiffres ci-dessus varient suivant les résultats de la récolte des fourrages. Il en est du reste de même pour la consommation qui est certainement plus élevée les années où la viande est à bas prix.

La production n’est pas égale pendant tous les mois de l’année, elle est en général bien plus élevée pendant les mois de printemps et d’été que pendant ceux d’automne et d’hiver, car c’est pendant les deux premières saisons qu’on garde en général les veaux destinés à l’élevage.

La consommation annuelle dans le dépt de l’Ain des bœufs et des vaches étaient en année moyenne de 3400 + 13600 = 17000 têtes et la production annuelle moyenne de 30000 têtes, il y a un excédent de 13000 têtes (4600 bœufs et 8400 vaches), le dépt produit plus que pour sa consommation, l’excédent est en général exporté sur Paris, sur Lyon, sur Genève, dans les dépts voisins de l’Isère, Saône-et-Loire, Loire etc.

Dans le dépt de l’Ain, les diverses régions de la Bresse, de la Dombes, du Bugey et du pays de Gex, ont des conditions économiques de culture et d’élevage très variées, aussi on y trouve une race bovine très mélangée.

Dans l’O. de l’arrt de Bourg et dans la plus grande partie de celui de Trévoux, pays de grande culture où les fermes sont espacées et la main d’œuvre rare, la race charolaise se retrouve partout et on lui demande presque exclusivement la viande comme produit. Il est certain que les pâturages de cette région ne sauraient être comparés à ceux du Charolais, on est arrivé cependant à d’assez bons résultats pour l’amélioration des prairies et la création d’embouches, les bœufs bressans et dombistes commencent à être appréciés sur les marchés.

Le long des voies ferrées et à proximité des villes de Lyon, Genève, Mâcon, Bourg, Villefranche, etc., ainsi que près des localités industrielles, le but de l’élevage du bétail est la production du lait. Lorsque la ville est éloignée, les producteurs vendent à un ramasseur qui portent les bidons à la gare, il y a aussi quelques syndicats de vente en commun.

C’est également la production du lait qui est spécialement recherchée dans la région montagneuse pour la fabrication des fromages de gruyère ou des bleus de Gex.

Pour le lait les producteurs cherchent à avoir les races qui en fournissent le plus, le dépt de l’Ain en possède une grande diversité variant souvent suivant l’origine, le goût et même la fantaisie du propriétaire ; on trouve des tarines, des hollandaises, des normandes, même des bretonnes, etc. Mais la race que l’on rencontre partout est celle tachetée rouge et blanc dont l’aptitude laitière est sérieuse, elle peut donner jusqu’à 28 hectol. par an et elle fournit une viande de bonne qualité.

On rencontre aussi des variétés franc-comtoises et dauphinoises ; depuis quelques années la race de Montbéliard est en faveur et de nombreux reproducteurs de cette race sont importés chaque année, elle donne des résultats très satisfaisants au point de vue de la lactation.

Plus du cinquième de la superficie étant en prairies et pâturages cela permet l’élevage de nombreux bestiaux et comme la viande, le lait et les fromages trouvent facilement des débouchés rénumérateurs le dépt de l’Ain semble chaque année augmenter de plus en plus son élevage.

On reproche aux producteurs le peu de soin donné aux élèves, un sevrage trop rapide, les étables où le fumier reste trop longtemps, des prairies peu soignées, pas amendées et des pâturages livrés aux seules bontés de la nature. Tous ces reproches étaient fondés il y a quelques années mais ils le sont peu aujourd’hui grâce à l’émulation agricole et aussi aux conseils écoutés donnés par les comices, syndicats et sociétés d’agriculture.

 

Bovinel, ham. de 100 hab. de la com. de Peyrieu, à env. 2500 m. N. E. du ch. l., en plaine, près du Rhône.

 

Boy ou Boye, ferme sur la com. de Villeneuve, à env. 2 k. N. E. du bourg.

 

Boyard, ferme sur la com. de Lapeyrouse, à env. 4 k. E. du ch. l., près de la route nle n° 83 de Lyon à Strasbourg, par Villars et Bourg.

 

Boyer, ferme sur la com. de Courtes, à env. 1500 m. N. du bourg.

 

Boyer, ham. de 16 hab. de la com. de Mantenay-Montlin, à env. 2 k. N. E. du ch. l.

 

BOYEUX-ST-JEROME, com. du cant. de Poncin (11 k.) arrt de Nantua (27 k.), à 35 k. de Bourg, 736 hab.

P. T. et gare E.S.E. à Jujurieux 7 k. – Gend. à Cerdon. – Percept. à Poncin. – Ecoles mixtes au ch. l. et dans les ham. de Châtillon, St-Jérôme et Poncieux.

Le territ. est situé dans la partie montagneuse du cant., à l’E. du ham. de Boyeux, l’altitude est de 796 m.

Le Riez, afft de l’Ain, arrose la com. ainsi que deux petits ruisseaux : le Marlieux et le Vinavo.

Le chemin de G. C. n° 12 de Priay à St-Martin-du-Fresne, passe par St-Jérôme et détache un embt sur Châtillon. Dans ce dernier ham. passe également le chemin de G. C. n° 11 de St-Rambert à la gare de Dortan.

Le ch. l. est au ham. de Boyeux, il compte 162 hab.

Les autres ham. sont Balmalon, Châtillon, Cornelle, Poncieux, St-Jérôme, Faysse ; une ferme isolée Lancieux, un vieux château le Châtelard.

La superficie est de 1694 hect. dont 624 de terres lab., 345 de prés, 30 d’herbages, 50 de pâturages, 150 de vignes, 80 de landes, 400 de bois, 2 de cultures maraîchères.

La récolte annuelle est d’env. 3600 x de blé, 1200 x d’avoine, 100 x de haricots, 200 x de fèves, un peu de maïs, chanvre et choux fourragers, 6000 x de p. de terre, 3000 x de betteraves f., 2000 x de fourrages art. 10000 x de foin, 400 hectol. de vin.

On trouve de nombreux chataigniers et noyers, quelques pommiers, poiriers et pruniers.

On compte 20 chevaux, 3 ânes, 14 taureaux, 16 bœufs, 460 vaches, 200 élèves bovins,          24 béliers, 170 brebis, 60 moutons, 50 agneaux, 70 porcs, 20 chèvres.

Commerce de vins et de fromages de gruyères, 2 épiciers. Comme industrie un petit moulin à blé, un atelier de tournerie sur bois 2 ouvriers, une carrière de pierres à chaux hydraulique      4 ouvriers, une fromagerie qui, en 1903, a mis en œuvre 1700 hectol. de lait.

 

BOZ, com. du cant. de Pont-de-Vaux (4 k.) arrt de Bourg (40 k.), 625 hab.

P. T. Gend. à Pont-de-Vaux – Station E.S.E. ligne de St-Trivier-de-Courtes à Trévoux, entre la halte de Gorrevod et la station d’Ozan – Ecoles primaires de garçons et de filles, école enfantine.

Le territ. est situé sur la rive g. de la Saône, son sol argileux et sablonneux est arrosé par le petit ruisseau de la Jutane qui le sépare des com. d’Ozan et d’Asnières et par un petit afft de la Jutane, le bief de la Nieuse, venant de Gorrevod et ayant un cours parallèle à la Saône.

La com. est desservie par le chemin de G. C. n° 2, de Varennes-St-Sauveur à Montluel.

Le ch. l. un peu à l’O. de ce chemin est divisé en 4 quartiers : la Mortelle, Montrillon, Nièvre, Quart-d’Amont. Un petit ham. de 3 maisons est à l’O. du ch. l. et porte le nom de les Girauds, 2 maisons isolées sont sur les bords de la Saône au lieu dit le Port, deux autres aux lieux dits la Gare et le Moulin.

La superficie est de 761 hect. dont 318 de terres lab., 250 de prés, 109 de pâturages, 5 de vignes, 3 de landes et 2 de bois.

La récolte annuelle est d’env. 400 x de blé, 1300 x de seigle, 1000 x de sarrasin, 400 x de maïs, un peu d’orge, d’avoine, de pois, 4500 x de p. de terre, 1000 x de betteraves f., 500 x de navets fourragers, 100 x de betteraves à sucre, 1500 x de fourrages art., 120 x de filasse de chanvre, 100 x de colza, 130 hectol. de vin, beaucoup de carottes rouges et blanches. Un hectare est consacré à la culture des asperges et en produit env. 50 x par an.

On compte env. 45 chevaux, 15 taureaux, 4 bœufs, 400 vaches, 170 élèves bovins, 10 brebis, 10 moutons, 10 agneaux, 350 porcs, 35 chèvres.

Pas de commerce, sauf celui des produits agricoles, des bestiaux et des asperges. Pas d’industrie, sauf une fromagerie – 2 auberges, 3 mds de bestiaux, 1 md de bois, 2 bouchers,   1 charron-forgeron, 3 épiciers, 1 entrepreneur de maçonnerie.

La paroisse a été démembrée de celle de Chevroux au commencement du XVIIe siècle, l’abbé de Tournus nommait à la cure.

Boz passe à tort ou à raison pour être une ancienne colonie sarrazine. La tradition voudrait qu’une poignée d’envahisseurs du VIIIe siècle, prisonnière et convertie s’installa en cet endroit. Ce point d’éthnologie n’est pas élucidé, ce qui lui a donné un semblant de vérité, c’est que les Burrhins, comme on les appelle, avaient conservé, jusqu’au milieu du XIXe siècle l’habitude de ne se marier qu’entre eux, ils possédaient un costume particulier, des coutumes singulières, avaient dans leur patois quelques mots bizarres, une couleur de peu presque jaune qu’on trouve du reste chez de nombreux habitants des communes voisines.

 

Boz, fermes sur la com. de Bâgé-la-Ville, à env. 5 k. O. du bourg.

 

Boz, ham. de 50 hab. de la com. de Lescheroux, à env. 700 m. O. du ch. l., près du chemin de G. C. n° 1 de St-Amour à la Saône par Lescheroux et St-Julien-sur-Reyssouze.

 

Boz (le), ham. sur la com. de St-Nizier-le-Bouchoux, à env. 4500 m. S. E. du bourg.

 

Bozon, deux maisons isolées sur la com. de Massignieu-de-Rives, à env. 500 m. E. du ch. l.

 

Bozon, ferme sur la com. de Meillonnas à env. 1 k. O. du ch. l.

 

Bozon, maison isolée sur la com. de St-Eloi, à env. 500 m. S. O. du bourg.

 

Bozons (les), ham. de 80 hab. de la com. de Villemotier, à env. 400 m. S. du ch. l. sur la route nle n° 83, de Lyon à Strasbourg par Bourg et Coligny.

 

Bozonne (la), ferme sur la com. de Monthieux à env. 500 m. S. O. du bourg.

 

Bozonnière (petit et grand), étangs de 10 et 19 hect. sur le territ. de Bouligneux.

 

Bozonnières (les), ferme sur la com. de Mollon, à env. 2 k. S. O. du bourg.

 

Bracannière (la) ou Braconnière, ferme sur la com. de St-Sulpice, à env. 700 m. S. E. du  ch. l.

 

Braconnière (la), étang sur le territ. de St-Nizier-le-Désert.

 

Braille, ham. de 55 hab. de la com. de Belley, à env. 1500 m. O. de la ville. Au XVIIIe siècle, il y avait une chapelle rurale dans ce ham.

 

Braires (les), ferme sur la com. de Châtenay, à env. 2 h. N. O. du bourg.

 

Braise (la), petit ham. de la com. de Montracol, à env. 1500 m. S. du ch. l.

 

Bramafan, maison isolée de la com. de l’Abergement-Clémencia, à env. 4 k. du ch. l.

 

Bramafan, ferme sur la com. d’Illiat, à env. 3 k. du bourg.

 

Bramafan ou Bramefan, petit ham. de la com. de Jassans-Riottier, à env. 3 k. S. du ch. l., sur le chemin de G. C. n° 28 de Moulin-des-Ponts à Trévoux par Pont-de-Veyle et Jassans. Quelques maisons de ce ham. sont sur St-Didier-de-Formans.

 

Bramafan, ferme sur la com. de Jasseron, à env. 2 k. S. du bourg.

 

Bramafan, bois com. de 10 hect. sur le territ. de Lagnieu.

 

Bramafan, montagne de 540 m. d’altitude dans la partie S. E. du territ. de Lagnieu.

 

Bramafan, ferme sur la com. de Montluel, à env. 10 k. N. O. du ch. l.

 

Bramafan, ferme sur la com. de Villemotier, à env. 4 k. O. du bourg.

 

Bramboeuf, ferme et grotte curieuse, sur la com. de Chézery à env. 5 k. N. E. du ch. l.

 

Bramont, ham. de 35 hab. de la com. de Châtillon-sur-Chalaronne, à env. 1500 m. S. du ch. l.

 

Branche (la), 3 maisons sur la com. de St-André-d’Huiriat, à env. 3 k. S. du bourg ; elles sont généralement considérées comme faisant partie du ham. du Ruthey.

 

Branche (la), ham. de 20 hab. de la com. de St-Julien-sur-Veyle, à env. 2500 m. N. E. du    ch. l.

 

Branche (les), bois communal de 26 hect. moitié sur le territ. de Ceyzériat, moitié sur celui de Ramasse.

 

Branciot, fort domaine sur la com. de Rancé, à env. 900 m. N. O. du bourg.

 

Brançon, nom donné au cours supérieur du ruisseau de Laval, territ. de Virieu-le-Petit.

 

Brangues, ferme sur la com. de Bâgé-la-Ville, à env. 3 k. S. du ch. l.

 

Branton, étang sur le territ. de Lapeyrouse, 33 hect., à env. 800 m. N. E. du bourg.

 

Braquis, petit ham. de la com. de Dompierre-sur-Chalaronne, à env. 800 m. du ch. l.

 

Bras-de-fer, ferme sur la com. de Chalamont, à env. 1700 m. N. E. du ch. l.

 

Bras-de-Mer, maison isolée sur la com. de Viriat, à env. 2500 m. N. O. du bourg.

 

Bras-du-Lac, petit ruisseau afft de dr. de l’Oignin, 1800 m. de cours sur les territ. de Port et de Brion, sert d’émissaire au lac de Nantua.

 

Brasière (la), ferme sur la com. de Dompierre-sur-Veyle, à env. 1500 m. S. O. du bourg.

 

Bravassin, ferme sur la com. de Monthieux, à env. 2500 m. E. du ch. l.

 

Bravière, ferme sur la com. de St-André-sur-Vieux-Jonc, à env. 2500 m. S. O. du bourg.

 

Bravière (la), étang sur le territ. de St-André-sur-Vieux-Jonc, à env. 2 k. O. du bourg.

 

Bray (le), ferme actuellement inhabitée, sur la com. de Champfromier, à 6 k. du ch. l.

 

Bray (le), ferme isolée sur la com. de Chanay, à env. 6 k. S. O. du ch. l.

 

Brazy, étang de 20 hect. sur le territ. de Bouligneux.